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Auteurs du chapitre 2

PLAN du chapitre 2

Introduction

 I - Les mutations techniques

 A/ Le progrès technique

1-Invention et innovation

2-Le rôle du progrès technique

3-L’analyse du progrès technique

4-Progrès technique et emploi

 B/ L’investissement

1-Evolutions dans les PDEM

2-Les déterminants de l’investissement

3-Le financement de l’investissement

L4-’investissement dans l’analyse économique

 II - L’évolution des structures productives

 B/La productivité

1-La mesure de la productivité

2-Evolution

3-L’analyse de la productivité

B/Les mutations sectorielles

1-Evolution de la structure de la 2-production

Evolution des secteurs d’activité

C/ La concentration des entreprises

1-Les modalités de la concentration

2-L’analyse de la concentration

3-La stratégie des entrepreneurs

Conclusion
Ecole néoclassique

Le progrès technique est un résidu exogène (J.J. CARRE, P. DUBOIS, E. MALINVAUD).

Il y a équilibre ex-ante entre l’épargne et l’investissement.

Ecole néolibérale

Le progrès technique est incorporé aux facteurs de production, responsable d’une croissance endogène (R. LUCAS, P. ROMER).

J. A. SCHUMPETER

Les innovations apparaissent par grappes et permettent d’impulser de nouveaux cycles longs (Kondratieff).

5 types d’innovations (produit, procédé, marché, matières premières, organisations).

La concurrence est source de gaspillage, seul le monopole permet l’innovation.

J. M. KEYNES

Les entrepreneurs anticipent la demande de consommation pour investir : c’est la Demande effective.

L’investissement a un effet multiplicateur sur le revenu national.

Il y a équilibre entre l’épargne et l’investissement, mais c’est un équilibre ex-post.

A. SAUVY

La thèse de la compensation : le progrès technique détruit des emplois mais en crée aussi.

L’école de la régulation

Les effets de la productivité ou le cercle vertueux du fordisme (A. GRAMSCI).

ENGEL

La loi d’évolution de la consommation : des biens primaires vers les loisirs.

J. FOURASTIE

La loi des trois secteurs ou thèse du déversement.

J.K.GALBRAITH

La filière inversée : ce sont les entrepreneurs qui fixent les prix et les quantités et non le marché.

 

 

 

Mme SODAIGUI, professeur de Sciences Economiques et Sociales